Groupe spectaculaire au son puissant et hautement original, Nihiloxica est né à Kampala de la rencontre entre deux musiciens britanniques (Spooky-J & pq) et quatre percussionnistes ougandais (Isa, Sally, Prince et Spyda). Ce collectif —dont le nom est une contraction des mots "nihilisme" et "toxique"— publie le 13 octobre chez Crammed Discs Source of Denial, sa production la plus cataclysmique à ce jour. Trois ans après Kaloli, ce deuxième album ajoute une forte influence metal plutôt extrême et une production radicale à la mixture déjà explosive de Nihiloxica. Il marque une nette bifurcation vers un son lourd et tranchant, plus heavy metal(lique), et pointe du doigt (d'honneur) les politiques migratoires hostiles et les atteintes à la liberté de mouvement qui affectent lourdement les carrières des groupes -notamment africains- au Royaume Uni et dans l’ensemble des pays occidentaux. Ici, les traditions séculaires des tambours ngoma bugandais se frottent en direct à des sons électroniques et synthétiques, collision dont l'effet est amplifié par le traitement sonore des percussions endiablées plus que jamais réanimées, manipulées et triturées, brouillant encore davantage la frontière entre tradition et techno.
Nihiloxica sera en tournée en Europe et au Royaume-Uni en octobre et novembre 2023, puis à nouveau au printemps et à l'été 2024.
Dangereusement hypnotique (Mojo, UK)
La nouvelle révolution électronique africaine (Noisey, US)
Un mélange explosif entre beats techno sombres et percussions ancestrales. Secousse mystique. Techniquement, c'est parfait. Esthétiquement, on est proche du nihilisme punk (Libération, FR)
Fantomatique, presque gothique, avec des synthés digitaux qui grésillent et grondent autour de grooves hypnotiques et polyrythmiques (Pitchfork, US)
Entre rythmes traditionnels et saturations synthétiques, une transe propre à faire bouger sur la même cadence les adeptes de l'underground londonien et ceux du célèbre Nyege Nyege Festival, au bord du lac Victoria (Le Monde, FR)
Il faut avoir l'esprit aventureux (et un moral d'acier) pour affronter les dissonances technoïdes de Nihiloxica… leurs abstractions nihilistes de vibrations synthétiques inquiétantes et de frappes tachycardes. L'hypnose est aussi brutale que le réveil est doux, songe d'une nuit noire bercée par les criquets et le chant d'une flûte solaire (Télérama, FR)
Le meilleur groupe du monde à cet instant précis (The Quietus, UK)
Véritable tornade musicale… Le présent et le futur de la musique moderne africaine a un nom: Nihiloxica (RFI, FR)
Des jams d'électro instrumentale mêlant attirail rythmique africain et textures glacées à l'occidentale…. la lame métallique des synthétiseurs rase les syncopes complexes des percussions traditionnelles (Tsugi, FR)
Avec Kaloli, Nihiloxica signe un disque puissant… transe hypnotique où se mêlent polyrythmie ougandaises et techno des plus toxiques (Pan-African, FR)
Un album aux sonorités dissonantes et polyrythmiques… conçu pour faire rentrer celui qui l'écoute dans un état de transe qui fusionne les danses indigènes ougandaises à celles des sous-sols de clubs anglais (Trax, FR)
Dark electro londonienne, rythmes issus des traditions du royaume précolonial du Buganda… déluge de percussion. Le meilleur de l'afro-techno (Arte, FR)
À Kampala, des producteurs et des musiciens fusionnent, dans un tourbillon transcendant, musiques locales ougandaises et musique techno (Radio Nova, FR)
Les percussions techno tribales de Nihiloxica emmènent le public vers des territoires rythmiques inexplorés (Les Inrockuptibles, FR)
L’un des groupes de musique électronique les plus originaux et les plus excitants (XLR8R, US)
Incroyablement enthousiasmant. L’avant-garde électronique africaine (Faze, DE)
Une puissance hypnotique qui ne peut mener qu’à la transe (Le Soir, BE)
Une expérience hallucinatoire (Süddeutsche Zeitung, DE)